Leadville Gunslinger - Harry Keller - 1952

	Allan Lane	...	U. S. Marshal 'Rocky' Lane (as Allan Rocky Lane)
	Black Jack	...	'Rocky's Horse
	Eddy Waller	...	Nugget Clark
	Grant Withers	...	Banker Graves
	Elaine Riley	...	Carol Davis
	Roy Barcroft	...	Chet Yonker / Pete Yonker
	Richard Crane	...	Jim Blanchard
	I. Stanford Jolley	...	Cliff Saunders
	Kenneth MacDonald	...	Sheriff Nichols
	Mickey Simpson	...	Henchman Monk
	Ed Hinton	...	Deputy Ned
	Art Dillard	...	Sentry
	Wes Hudman	...	Stagecoach Driver (as Wesley Hudman)

54 minutes

Leadville connait une vague de banditisme. Cinq hommes dérobent une somme et s'enfuient, poursuivis par le shérif et ses hommes qui font prisonnier l'un d'eux. Mis en cellule, un Marshall ne devrait pas tarder à venir l'emmener dans un pénitencier. Le Marshall en question qui n'est autre que Rocky Lane s'arrête en passant chez son vieil ami Nugget qui possède un ranch et qui croit savoir qu'il y a du pétrole dans sa propriété. Rocky passe la soirée au ranch et fait la connaissance de Carol la nièce de Nugget qui est fiancée avec un voisin, Jim. Justement des coups de feu sont tirés chez lui et Rocky accompagne Jim pour défendre son ranch. Mais ce n'est qu'une diversion qui permet à Graves (Whiters) d'organiser l'évasion de l'homme emprisonné qui n'est autre que le frère de Chet Yonker (Barcroft), et membre de sa bande de hors la loi qui trouvent refuge après les crimes juste en dehors de la juridiction du shérif. Mais Rocky a un plan ....

Ce film marque le retour d'Eddy Waller qui nous avait manqué dans les derniers films. Le scénario est comme toujours très clair et bien monté, de l'action en veux-tu en voilà presque non stop. Roy Barcroft joue le rôle de deux frères, et Grant Whiters est très crédible dans ce genre de rôle d'escroc qui semble respectable.

Dans la grotte alors qu'il doit faire ses preuves pour appartenir à la bande, Rocky doit faire face à un grand costaud appelé Monk (Ouh là, j'ai eu bien peur pour Rocky !). Le combat final est violent comme il se doit.

Il y a toujours un grain de sable dans les plans de Rocky, subtilité qui augmente le suspens, bien sûr ! 

A noter : lors des combats finaux, il arrive souvent que le bandit tente d'abattre Rocky mais son revolver n'a plus de munition. Rocky pourrait alors l'abattre aisément, mais non, fair play Rocky joue des poings pour prendre son adversaire vivant ! Bravo Rocky !

Paf ... à Monk ...

... Pif... à Yonker !